A l’image d’une ville, nous entamons parfois des grand travaux.
De ceux que l’on sait qu’ils vont durer une vie, qui risquent même de ne pas être terminés à temps pour pouvoir en profiter de son vivant.
Il est bon de se lancer des défis ambitieux, de se dire que l’on pourra être fier de cela à notre crépuscule. Avec le risque inhérent d’avoir pété plus haut que son cul.
J’en ai plusieurs dans mon sac.
Tous commencés, tous porteurs d’un rêve, d’une raison de vivre.
Espérons que j’ai l’eau pour les arroser, la terre fertile pour les voir pousser.
Et pouvoir partager ma fierté avec ceux que j’appellerai les miens.